vendredi 27 novembre 2009

Il arrive!!! Préparez-vous.

C'était dans l'air depuis notre arrivée, point de repos sur ce continent, une fois octobre entamé, les magasins prennent tous les traditionnelles couleurs, celles là même qui font tinter les petites clochettes dans nos têtes :
Oui, le vert et le rouge velours ont aussi leur places ici. Et pour les irréductibles qui ne peuvent s'empêcher de penser que Noël sous l'écrasant soleil d'Australie, ne peut être qu'un ersatz de l'islandais, sachez qu'ici, on ne ménage pas ses efforts pour faire oublier qu'un palmier n'est pas un sapin.

Depuis octobre c'est une machination infernale qui s'en prend à tous les rouages de l'économie Australienne.
A croire que l'australie est à Noël ce que Le Prince de Gonzague est à Lagardère.
S'il peut s'agir d'une banale guirlande dans un arbre, ou d'une confiserie vendant des petites cannes torsadées de rouge et de blanc sous 35° à l'ombre, c'est aussi fortuitement que l'on découvre un ferry (nous amenant sur une île) arborant une magnifique couronne de Noël, ou le fameux "let it snow" de Sinatra résonnant discrètement dans un ascenceur public (qui nous cuit sur place car il est exposé au soleil). On ne citera pas, les promotions pour dindes surgelées, les avertissements divers rappelant qu'un bon Noël se passe au restaurant et que les places sont rares ("Réservez maintenant, demain il sera trop tard!" en octobre), les gâteaux signé "Merry Christmas" envahissent les rayons (1 mois et demi avant la cuisson de la dinde). Etc. Etc.

Mais tout ceci n'était qu'un prémice à la suite car si l'on se demande comment le père Noël parvient à prendre commande et livrer la terre entière en une nuit, j'ai déjà deux éléments de réponse.

1. Le décalage horaire est un incontestable outil qui n'a plus aucun secret pour la "Noël & Co" : Je suppose donc que Cécile et moi serons livrés 9 ou 10 heures avant la Belgique (décidément ces Australiens n'ont que des avantages! Tudieu!).

2. Le Père Noël en personne vient prendre les commandes sur ce nouveau continent bien avant les autres. Alors qu'en Belgique, il doit impérativement patienter le passage de la "St Nicolas fever" pour passer à l'action, ici, c'est "Feu vert et effet Kiss-cool" depuis deux mois. C'est ainsi que nous avons pu rencontrer l'intéressé (salopette et manteau de velours toute de fourrure blanche ornée. Le pauvre gars!), il y a quelques jours, prenant note de tous les désidératas des bambins en maillot et sandales couverts de crème solaire 30+ comme il se doit ici.

Ne vous étonnez donc pas si, au rebord de votre cheminée dans un mois, vous trouvez un peu de sable blanc; le père Noël en a plein ses bottes (au sens propre comme au figuré), et n'est qu'au milieu de sa tournée.



















nb: faut reconnaître qu'ils savent y faire ces bouffeurs de bananes!

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mardi 24 novembre 2009

Donc, ça c'est fait...

Forts d'un mois de ballades en ville, de ballades dans la montagne puis de re-ballades à Sydney, suivi de bus pour Brisbane, de ballades dans Brisbane et d'incessants aller-retour de l'hôtel à la bibliothèque (pour Internet très utile pour trouver une voiture), puis de travail aux champs à Tamborine Mountain, nous avions bien constatés que la mer et la plage n'avaient pas réellement fait partie de notre programme. On a bien fait un essai a sydney mais ce jours là il faisait gris et puis un autre a Brisbane où il s'agissait d'une plage artificielle à l'embrun chloré.
Qu'à cela ne tienne, fi de la montagne, c'est cette fois de la plage, de la plage et que de la plage qu'il s'est agit ces 4 derniers jours (oui la ferme, c'est fini depuis mercredi).
Nous avons décidés de procéder en deux étapes. Vu que la réputée Gold Coast est actuellement envahie par les Schoolies (les étudiants ayant fini les examens migrent vers la plage pendant 15 jours - 3 semaines pour se prendre une bonne bourre), notre premier point de chute fut ces derniers jours North Stradbroke Island. Veni vedi vicci ou presque parce que le Vicci on repassera, on a passé ce dernier jour à jouer au chat et à la souris sous les arbres avec le soleil. Les coups de soleil ont eu raison de notre capacité à résister à la chaleur.
On est un petit peu chocolat. ;)

Donc je vous parlait de l'île et je vous invite à taper les mots Stradbroke Island sur Google pour comprendre notre enfer
Du sable blanc partout une mer turquoise, des vagues partout, des dauphins mais on n'en a pas vu, des surfeurs sur des plages à perte de vue et même la possibilité de rouler avec le 4x4 dessu. On s'est empressés de tester pour vous bien entendu, et il faut bien reconnaitre que le 4x4 est très utile, on a pu expérimenter le calage en plein dans le sable mou, on a bien senti le coup de stress.

La seconde étape est encore à faire et ça risque de pas être triste non plus : Fraser Island et je renouvelle l'invitation sur Google, ça devrait pas être triste.

Bref, vous l'aurez compris, c'est officiel, on a enfin gouté à la plage australienne.

Prochains trucs à faire : Plonger et faire du surf.

Eh, regardez la vue que j'ai prise ce dimanche soir avant d'aller faire du 4x4 sur la plage :



Bon mardi.

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vendredi 20 novembre 2009

The "Thing" thing


S'il est un mot que l'on devrait apprendre dans toutes les langues, et si on me demandait lequel je choisirais pour m'en sortir le mieux lors d'une immersion dans une langue étrangère, je crois que je choisirais : "Truc".
Je redécouvre sa version anglosaxonne avec un émerveillement à peine masqué.
Un zeste d'imagination, une pincée de culot, et l'on parvient à l'utiliser de mille façons.
Ainsi, une prise électrique devient : "Le truc électrique que l'on met dans le truc qui est dans le mur avec trois trous (en Australie, il y a trois trous) et qui permet de mettre de l'électricité dans ce truc." Ma version préférée tiens dans ces quelques mots (traduits de l'anglais dans le texte, bien entendu) : "Comment tu appelles ce truc?" en pointant du doigt ou en présentant tel ou tel rareté comme un pistolet à graisser - très utile - ou la fameuse tirelire en forme de cochon (non c'est pas "money box"), ou encore le fameux porte rouleau de papier de toilette. Enfin ce genre de "trucs" (vous voyez comme c'est utile) si important qu'on se demande comment on ne les connait pas.

En conclusion : Le schtroumpf du schtroumpf quand ça schtroumpf bien c'est d'utilisier le schtroumpf à bon schtroumpf sans trops schtroumpfer les schtroumpfs sous peine de ne pas se faire schtroumpfer et de perdre son schtroumpf dans le schtroumpf.
C'est schtroumpfs?

PS : papa tu peux remplacer Schtroumpf par Scroumpf si tu ne comprend pas.

Toche


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jeudi 19 novembre 2009

Les sens en éveil.

La vie étant faite de petits rien, je voulais vous exposer un des nôtres afin de rendre votre journée plus belle et agréable.

Ainsi, par une belle soirée de printemps Australien, nous avons découvert au plus grand des hasards, une chose qui ne nous était jamais venue à l'esprit mais qui nous est apparue tellement claire lorsque nous l'avons trouvé, qu'il ne pouvait désormais plus en être autrement.

Avant propos :
Forts de posséder notre char, nous nous sommes rendus dans une ferme d'avocats afin de pratiquer et expérimenter le fameux woofing : l'idée est simpliste, en échange de 4-6 heures de travail dans ladite ferme, nous recevons le logement et la nourriture gratuite. C'est génial, ça nous permet d'economiser, de s'immerger dans la langue, de se dégourdir les jambes, et de decouvrir la vie des gens. Le tout autant de temps qu'on veut avec un minimum de deux jours.


Nous avons donc participé au projet de Bev & Geoff Buckley, respectivement experte Formateur et ex-top manager chez IBM. Nos deux retraités hyper-actifs ayant l'idée de créer un centre de formations dans leur magnifique propriété de Tamborine Mountain, se sont retrouvés après une pirouette que je vous épargne à cultiver plus de 60 variétés de fruits & légumes (dont l'avocat) et ce biologiquement pour financer leur futur projet.
Nous avons donc pris la pelle et la pioche pour désherber, planter, cueillir, couper les légumes, les mettre en caisse jusqu'à se rendre sur le marché (non nous n'avons pas fait la vente) pour honorer nos heures de travail en tant que woofers. Autant vous dire que la terre et le labeur ont eu raison de certains de nos vêtements.

Il se trouve que Bev a pris goût à la culture, tant et si bien que nous avons pu observer son désir de faire rentrer ses experiences dans la maison. J'en veux pour preuve sa cuisine qui semble ne pas avoir été nettoyée depuis plusieurs années. Les éléments sont évidents, une odeur pestillentielle émanant de l'essuie de cuisine brunâtre (beige clair à l'origine), un ensemble de verres et de tasses sur l'appui de fenêtre contenant tantôt un liquide jaunâtre graisseux, tantôt un reste de gloubi-boulga (cfr. Casimir) en croute, tantôt rien mais un rien qui ne sent pas bon. Le tout entouré de cadavres de mouches dévorées ou non par les araignées qui paissent au plafond (rassurons nous, les fameuses "red back" n'ont établis leurs quartiers qu'aux fenêtres du côté extérieur en cette période de la saison). Le cheptel de boutons et de manettes de la cuisinière, du four, du mixer etc. Sont à eux seuls un historique de tout ce que Bev à pu préparer à manger ces dernières années. Tout ceci nous amène sans le savoir a notre découverte, que voici : Sachez, vous qui vous êtes déjà posé la question ou pas, vous qui avez déjà observé ces petits réveils digitaux que l'on met sur sa table de nuit ou que l'on trouve parfois sur les cadrans de four de cuisine, oui, sachez qu'entre la vitre et les chiffres digitaux, il existe un espace! Certe, il n'a pas l'air bien grand, mais il existe bel et bien. Nous ne nous étions jamais vraiment posé la question tant elle nous paraissait évidente, désormais nous ne verrons plus ces horloges de la même manière.




Aaah ces blates quand même, ça fourre son nez partout, c'est fou.

mercredi 18 novembre 2009

Not' char

C'est pas peu fiers que nous vous présentons aujourd'hui notre destrier, notre compagnon pour nos actuelles et futures escapades, notre couchette roulante lors de nos bivouacs improvisés ou non, notre solution à tous nos problèmes de transport, notre investissement le plus conséquent depuis le début de cette aventure, j'ai nommé notre "Pajero V6 GLX 3000" flambante presque neuve. Impossible de rester de glace face à un titre ronflant tel que celui-ci. Je sais, ça l'a fait pour nous aussi. Et encore je n'ai pas mentionné qu'elle n'a de rouille nulle part, normal c'est une jeunotte, enfin elle est plus jeune que moi quoi. Non, 1994, c'est pas si vieux et puis au moins elle a de l'expérience. Elle a pas quitté le continent mais elle a quand même fait 8,5 fois le tour de la terre qui, à lui seul ne fait que 40.000 malheureux kilomètres. Autant dire qu'elle sort du garage (au sens propre comme au figuré je crois). Bref après avoir glanés les annonces, et l'avoir testée (quand même), on s'est décidés et en une journée pratiquement l'affaire était bouclée.

Alors pourquoi ce choix, un 4x4? Oui ça consomme plus, oui on aurait pu prendre un minivan, oui on aurait pu prendre une Ford Falcon comme tous bon backpacker, oui oui oui...
Mais en fait non. Plusieurs raisons :
1. C'est la mega frime (il parait que je ressemble à "Papy Henri")
2. On peut dormir dedans et avoir nos affaires en dessous de nous sans rien bouger (comme ds le minivan, mais pas dans la Ford Falcon break)
3. On peut aller sur les îles et dans les parcs nationaux où, tout ce qui n'est pas 4x4 (hormis les deux roues), n'est pas accepté
4. Pour la consommation, 10 litres/100km c'est beaucoup mais pas excessif, sachant que l'essence est à 1,20$/l (env. 0,70€/l), on devrait pas trop en souffrir.

By the way, digne fils de son père, je me suis empressé de bricoler une couchette avec une planche quelques vis et des bouts de bois. Le résultat est épatant, il nous tarde de trouver le matelas adéquat pour tester la chose. En attendant nous logeons dans une ferme pour laquelle nous travaillons 4 heures par jour. Mais on expliquera ça plus en détail dans une prochaine note.

Bon maintenant une ou deux photos pour concrétiser la bête:







En vous remerciant, au revoir et :
"On the road again!!"

vendredi 13 novembre 2009

Patience ca vient

Depuis le 2 novembre, on est dans une ferme a bosser dans les champs, j'ai prepare sur mon iphone deux trois nouveaux messages a mettre sur le blog, mais comme il n'y a pas de wifi ici, je ne sais pas les envoyer pour le moment. des que j'ai la possibilite d'envoyer des news, je le ferai. normalement au plus tard mercredi prochain vu qu'on quitte la ferme a ce moment la, mais j'espere vous envoyer des nouvelles avant.
Salukes, bon c'est dur dur ces 28 degres, pfff
Toche

lundi 2 novembre 2009

Brisbane transit!

Deux messages aujourd'hui, donc lisez d'abord l'autre!

Eh les gars, on y est presque! On a trouvé la bagnole, des photos des demain, c'est promis! On cherche déjà un nom à lui donner. Demain on règle la paperasse. Et hop on file vers une plantation d'avocats où nous allons tester le woofing. Comme vous voyez, on n'a pas chômé cette semaine, entre les musées, la plage artificielle ("Bruxelles les bains" peut aller se coucher), et un tt petit peu de shopping, on a cherché comme des fous une voiture et une ferme ou autre où se dépenser un peu au soleil. Oui soleil, Enfin! Ici c'est très difficile d'imaginer qu'on est en novembre, ça ressemble plutôt à un bon mois de juin en Corse, pour vous dire, ce soir je triture mon iPhone sur la terrasse du backpackers où nous logeons depuis une semaine et qui surplombe les faubourgs de Brisbane. Allez hop photo :


Normalement je suis assis devant la revue, la vallée dans le dos. Il y a au moins 20 degrés.




Une autre en me rendant a la borne wifi la plus proche.

Donc on a essayé deux voitures et pour la première, il a fallu que je prenne la route dans le mauvais sens au premier tournant venu. Le propriétaire à l'arrière, a eu la trouille de sa vie je crois, moi aussi d'ailleurs, il m'a bien fallu 1h pour m'en remettre. Pour la deuxième j'ai pu flâner dans un quartier plus résidentiel. Je vais maitriser, c'est sûr.

Quant à la ferme on a envoyé plusieurs Emails à différents membres de woofing, 1 a répondu, il nous attend des qu'on a la voiture. J'en dirai plus la semaine prochaine sur le sujet, aujourd'hui, c'est encore un peu tôt.
Salut et hivernez bien.

PS : Bon anniversaire Alex!!! Merde la photo est pas droite.




Le lévrier n'a que trois pattes




Partisans de l'inconnu, rien de tel que de prendre le mythique Greyhound pour traverser les 690 bornes à vol d'oiseau qui séparent Sydney de Brisbane. De retour donc des montagnes précitées. Nous filons au guichet de bus pour nous alléger de 200$ dont 2 pour la reforestation. C'est pas grand chose, mais bon c'est toujours ça.
Comme le bus est à 23h et qu'il nous reste 10h à tuer pendant que vous dormiez, nous allons à l'aquarium pour faire un coucou aux Dugongs. Je sais Fred, je suis sans foi, mais bon, j'essaie de me consoler en sachant qu'une partie de l'entrée sert à la préservation des especes... On sort toujours de là avec un goût amère partagés entre la fascination de voir ces animaux et le désolement en observant les otaries parcourant sans fin le même circuit. C'est sans doute de l'antropomorphisme mais on ne peut pas imaginer qu'ils s'eclatent comme des dingues dans leurs mini bassins. Tout ça pour sortir de là et découvrir que la pluie nous avait retrouvée.

Le temps écoulé nous nous rendons à la station de bus avec notre laisser-passer pour une folle nuit d'auto-chiropractie que nous n'avons pas manqué de pratiquer sans retenue. Le nombre de participants aidant, nous nous sommes apropriés deux places par personne afin de pouvoir exceller dans l'art du contortionnisme en espace confiné. Pas toujours évident de trouver l'équilibre. C'est un peu comme jouer seul à Twister dans un placard : l'expérience est intéressante, mais on n'en tire pas grand chose de bon.

Vers 3h du mat, c'est la pause du chauffeur. Un resto route comme on en trouve partout en Europe, j'en profite pour piquer une tête dans les méandres du langage local en entamant une grande conversation avec notre chauffeur. Autant dire que l'exercice est périlleux, mais le type est super sympa et connaitre l'idée que peut avoir un vieux routier australien sur les routes européennes s'avère assez étonnant. Bon meme temps, faut nous excuser, il etait tout de meme 3h du matin! C'est alors que l'instant magique se produit : en fait on s'est retrouvé au beau milieu d'une scène digne d'une campagne de pub Pepsi. Dans le cas présent le chauffeur "Greyhound" à côté du chauffeur "Premier" s'envoyant gentillement des vannes sur leurs deux compagnies. Un petit exemple? Je pose la question : "combien de km séparent Sydney et Brisbane?... P : ooh au moins 950... GH : mais non a peine 700, mais ca explique pourquoi "Premier arrive toujours en retard!". Enfin nous repartons avec une concession de notre bus man, "Premier est moins cher" (c'est cool, si on avait su!!). En résumé le trajet se découpe comme ça hormis les changements de position : dodo, réveil, "oh il drache", dodo, rayon de soleil, dodo, 1/2 heure a regarder passer les prairies dans l'espoir de voir un kangourou, dodo, "ah purée, inondation", dodo, observation des champs de canne a sucre : aucun intérêt, c'est très moche, dodo, bon on arrive? Dodo, bon on arrive?, dodo, bon on arrive?, bon on arrive?, bon on arrive?, encore un arrêt, non mais ils se foutent de qui?
L'explication c'est qu'on croyait arriver à 11h du mat et qu'à 15h (sans compter l'heure de décalage a retirer) on n'etait pas encore arrivés...700 bornes... 16h de bus... Et les bus "Premier" qui sont plus lents!? Je crois en fait que c'était prevu mais qu'on a mal du regarder les horaires.

Je deviens un peu long, je sais mais 16 heures de pur bonheur, c'est pas facile a partager en deux lignes.

La conclusion : Au bout du compte on voit passer tout plein de coins sympas et c'est là qu'on se dit : "ok il faut qu'on achète une bagnole!". Les belles plages, les petits bleds perdus, les fermes typiques hop envolées.
Greyhound, c'est une solution, lente pas très confortable, frustrante parce qu'on s'arreterait bien partout, on est mort, on pue, on n'a pas payé d'hôtel, mais qu'est ce qu'on est content d'arriver!!!
Et nous qui rêvions de la campagne nous voilà en Ville encore, mais la suite vous apprendra qu'on prépare le reste de notre voyage car on est le mercredi 28 quand on voit poindre les gratte-ciels Brisbanites.




PS :
1. Pour les pubs Pespsi allez sur YouTube.com et tapez les mots clé : Ad, Pepsi, Coca-cola.
2. merci much pour les masques à dodo très utile en bus.