vendredi 29 octobre 2010

Aaaaah ben c'est pas trop tôt

Sorry les gars, je vous ai lâchement abandonnés, mais il faut avouer qu'entre la vie de nomade qu'on a vécu pendant quelques mois et le dur retour à la réalité belge, j'ai dû laisser de côté le blog qui nous avait tant amusés à rédiger Cécile et moi.

Alors voilà, tout d'abord nous voulions (depuis loooongtemps) vous remercier pour tous vos messages de soutien et vos encouragements, ça nous a vraiment fait chaud au coeur de vous lire de temps en temps lors de nos escales McDonaldiennes.

Ensuite, comment dire? Je ne sais pas très bien quoi faire, est-ce que je clos là le blog et on en reste là? Ou alors je continue sur ma lancée sans très bien savoir quoi raconter. Si vous en voulez plus, n'hésitez pas à me passer le message. Sinon, ne faites rien.

En attendant, voici ce que je peux vous dire sur la suite :

Revenons au mois de mai

Après les temples d'Angkor, on est retourné sur la côte, mais Thaïlandaise cette fois. En quelques mots, le passage de la frontière est une expérience à vivre. Bien sûr le bus s'arrete avant la douane. Terminus, nous sortons tous, puis on fait la file pour obtenir notre visa. 20 minutes plus tard on traverse le no-mans land sous la chaleur écrasante et accompagnés de transporteurs de marchandises. Ici pas de camions de transports. La rivalité porte entre les transporteurs à pieds qui déménagent des paquets aussi grands qu'une SMART, et les plus avantagés qui on une charette. Cette dernière permet de déplacer des montagnes de paquets semblables à ceux des "sans-charette", l'astuce c'est que la frontière est juchée de passage étroits et pas très haut, du coup, entre les deux pays, il faut charger et décharger deux fois la charette, encore aujourd'hui je me demande qui est gagnant... En tout cas ça fourmille de partout.



Bref, on passe la frontière, on nous colle des étiquettes sur le plastron afin d'être reconnu par un chauffeur de bus potentiel. On nous ballade à gauche, puis à droite, puis on prend un 4x4, 2km plus loin on nous dépose dans une buvette... Ca sent l'arnaque à touriste : Chaleur, attente, buvette...et hop faites pêter les billets... Sauf que nous n'avions plus de "baht" en poche.



Une grosse demi-heure passe, un minibus arrive, on a encore une bonne route à faire, et si on veut arriver sur Koh Chang (l'ile éléphant) aujourd'hui il s'agit de se grouiller. Ca le chauffeur l'avait bien compris parce qu'avec son minibus tuné d'Xor, le roi n'était pas son cousin en matière de virages sérrés à pleine vitesse. On arrive finalement à la tombée du jour devant l'embarquadère où nous achetons nos billets et choisissons notre hôtel. Cette fois, on sort le billet de mille. Si jamais vous allez à Koh-Chang, n'hésitez pas, le Barali n'est pas mal du tout, pour 50€ c'est grand grand luxe!!

Bon cette fois j'ai pas vraiment de chute à ma belle histoire et j'avoue que je dois me remettre dans le bain pour écrire, mais c'est pas grave, la prochaine fois je vais vous concocter une belle histoire avec des éléphants et Sandrine qui leur donne le bain. Sinon en magasin j'ai aussi Bangkok (après les manifs) dit aussi "la course aux courses", les criquets grillés... enfin, si je réfléchis bien, je dois bien en tirer deux trois histoires.

1 commentaire:

Anaïs Pagès a dit…

Viens donc nous voir au Cambodge!! T'auras encore plein de choses à raconter!